Un truc bien zarbof [bizarre] qui m'amusait beaucoup lorsque je me trouvais avec Jean durant nos displacements, était de lui remplir ses poches de veste à son insu évidemment, de bonbons. Il existe parfois à l'accueil des hôtels ou des restaurants des bocaux remplis de bonbons destinés à la clientèle. Il m'arrivait alors d'en prendre de grosses poignées discrètement et de les mettre dans les poches de Jean, ce qui l'embêtait bien.
A chaque fois qu'il voulait prendre ses lunettes, son téléphone portable ou sa monnaie,[ souvent des cents ou centimes ], ses poches ne contenant jamais de billets, à coup sûr, c'était un bonbon qu'il sortait. Je trouvais son expression très drôle.
A la longue, il se méfiait, mais à chaque fois je trouvais le moyen de lui remplir ses poches de bonbons multicolores, ça prenait à chaque fois.
C'est d'ailleurs de là qu'est venue l'idée de remplir les petits cercueils de bonbons que l'on voit dans le film
Une scène du film où l'on voit Marie Laurence en Mère supérieure proposer des bonbons dans des petits cercueils aux deux sorciers joués par
Natalie Perrey et Bernard Musson.