Sortie en salles du film
La fiancée de Dracula
14 août 2002
 
Cyrille Iste et Jean Rollin
©Photo droits réservés®
Sylvain Marage se trompe. le tournage du film s'est tenu en 1999, et est sorti le 14 août 2002…
 
Pour une raison dont j'ignore l'origine, la publication n'est pas accessible, chose que l'on voit un peu partout dans le site, je laisse à l'appréciation des utilisateurs…
 
 
 
 
Les effets spéciaux ont été faits et supervisés par
 
Benoît Lestang
[ 14.12.1964 - 27.07.2008 ]
 
ayant travaillé sur plusieurs des films de Jean Rollin notamment sur le film
La morte vivante  
 
Benoît Lestang à fabriqué le faux torse de la Sœur Tourière sur le film
 
La fiancée de Dracula
Décor Bibliothèque Smith-Champion de La Maison Nationale des Artistes
94130 Nogent-sur-Marne
 
Entre la préparation des lumières et de deux scènes, Jean Rollin, relisant le scripte du film…
©Photo : Véronique D.Travers®
Pour obtenir cette œuvre majeure, dernier témoignage  visuel de Jean Rollin sur son dernier film,
Le masque de la Méduse
contacter directement Jean-Loup Martin par mail ou sur son site internet Cendrane Films,
ou commander le DVD du film qui doit paraître aux Editions Harmattan vidéo Paris.
 
Je remercie infiniment Jean-Loup Martin, pour ce témoignage émouvant dédié à mon ami,
Jean Rollin, cinéaste-écrivain.
Ci-dessus,  Bernard Musson dans le rôle du sorcier brandissant mon marteau arrache-clou 110…
Brigitte Lahaie dans le rôle de la louve avec Cyrille Iste,  la fiancée de Dracula…
Cliquer pour démarrer la vidéo
©Photo droits réservés®
 
Ces photos évoquent assez subtilement  jusque dans les costumes des religieuses, certaines œuvres du peintre Clovis Trouille dont Jean Rollin s'est inspiré librement.
Jean Rollin affectionnait un peintre un peu subversif ; Clovis Trouille, que j'apprécie moi-même beaucoup.
J'avais apporté sur le plateau de tournage, des reproductions sous cadre de verre de peintures de ce peintre.
Jean Rollin s'est inspiré de certains de ces tableaux dans les scènes de son film.
Ci-dessous Sabine lenoël et Céline Mauge dans la scène du baiser
s'inspirant du tableau de Clovis Trouille que l'on voit ici en arrière plan :
Rêve claustral.
 
Céline Mauge dans le rôle de
Sœur Tourrière
Marie Laurence dans le rôle de Mère supérieure et
Sabine Lenoël dans le rôle de Sœur Marthe
Jean n'était pas satisfait de cette date de sortie pour le film La fiancée de Dracula. Cela se comprend, un 14 août…
Mais malgré cette date durant les congés estivals, le film a quand même bien marché pour cette petite sortie.
L'important était avant tout que le film sorte en salle.
Malgré le fait que Rollin livre les clés des portes de son imaginaire, il ne les ouvre pas pour autant. Il reste encore une fois à la lisière crépusculaire entre rêve et réalité, ne pénétrant jamais dans le «monde noir» des parallèles, semblant plus intéressé par ses entrées fantasmagoriques que par le monde clos (?) auxquels elles mènent.
 
L’érotisme est omniprésent, comme dans les films précédents. Un érotisme plus pictural et artistique que de situation. Les fesses de la femme-vampire, penchée sur sa victime, sont magnifiées par la science de l’éclairage et du cadrage de Rollin.
 
L’érotisme est aussi symbolique, prétexte d’une poésie des tombes, entre Eros et Thanatos, avec ses jeunes femmes dénudées parcourant les cimetières, avec le rituel de La fiancée de Dracula, attachée nue à un poteau dans la marée montante de la plage de Tournon-Dieppe [Pourville-les-Dieppes]…
 
Comme d’habitude, on voit des jolies femmes, du saphisme, des caresses… Un univers de l’enfance rehaussé par les rêves de l’adolescence… Mais seules les allées et venues des personnages à travers les portes de l’imaginaire semblent concrétiser cet érotisme.
 
Dracula et sa fiancée scellent d’ailleurs leur union par leur passage dans l’irréel. La vision de l’univers magique des vampires sera-t-elle dévoilée dans le prochain film? A l’instar de l’Orphée de Cocteau, pénétrerons-nous le miroir pour suivre le héros? Pour boucler la boucle de ce cycle, il nous faudrait voir un jour ce monde noir au lieu de rester dans les crépuscules préliminaires.
Et tout le long, Rollin brouille les pistes, pratique l’auto dérision en incluant l’humour, avec ses nonnes hystériques, tue cruellement ses héros trop conventionnels, en vieil anarchiste roublard qu’il est. Une bonne sœur s’écrie même en apercevant Dracula : «C’est la lutte finale!».
 
On peut malgré tout s’interroger sur la nature du monde imaginaire de Rollin, et même essayer d’en deviner la substance. Fait curieux, le film est, comme déjà écrit, émaillé de références à la littérature populaire de Gaston Leroux («La reine de Sabbat»), de Jean Ray ou Gérard Dôle («Harry Dickson»). Ces exemples seraient-ils plus que de simples évocations? Peut-être ont-ils rôle d’invocations et les créatures de l’au-delà sont-elles matérialisées dans ce monde par les formules incantatoires tirées de ces ouvrages? «Ce soir, on assassine à l’arme blanche»… Peut-être ces êtres bizarres proviennent-ils du monde des livres? L’imaginaire de Rollin serait alors purement littéraire. Rollin pourra-t-il un jour réellement filmer les lectures de sa jeunesse? En aura-t-il l’autorisation? On se souvient qu’un projet de film d’Harry Dickson («La griffe d’Horus») a malheureusement avorté suite à des problèmes de droits causés par un éditeur chagrin. En aura-t-il les moyens, loin des budgets des Spielberg et autres Cameron? Un producteur français aura-t-il un jour l’audace de miser sur un cinéma différent?
Le cinéaste pratique également l’auto-référence : à de nombreuses reprises il puise dans le creuset de ses films précédents. A l’instar de «La vampire nue», les créatures de la nuit sortent des horloges. Comme dans «Les démoniaques», le passage vers l’irréel peut se faire par le sacrifice de l’initié, de préférence sur cette éternelle plage de Tournon-Dieppe  [Pourville-les-Dieppes]. On retrouve également les nonnes des «Deux orphelines vampires», ainsi que l’Ogresse et la Louve, incarnée par une Brigitte Lahaie, vêtue de rouge, sublime sur son destrier. Traduisant plus que de simples constantes inconscientes du réalisateur-scénariste, ces éléments apportent une véritable cohésion endogène à son cycle. Rollin donne les clés de l’ensemble de son œuvre, permettant au passage au spectateur fidèle de confirmer ses théories échafaudées depuis une trentaine d’années. A savoir, un monde irréel existe bel et bien au-delà de nos perceptions, peuplé de créatures fantastiques, de vampires, ogresses, louves et autres parallèles, qui rejoignent notre réalité par des accès précis et vivent leur vie en toute liberté, loin de nos contraintes morales ou sociales, en véritables figures mythologiques, parfois invincibles, souvent décalées, voire pathétiques…
 
Si la comparaison s’avère souvent inadaptée pour l’analyse, celle des univers de Rollin et de Lynch, particulièrement pour la série «Twin Peaks», est révélatrice. On retrouve chez cet autre auteur un univers imaginaire, un monde noir, pouvant vomir sur notre continuum ses créatures étranges, aux personnalités cocasses et malfaisantes.
Fait remarquable : le scénario est beaucoup plus narratif que celui d’œuvres précédentes comme «La rose de fer», s’inscrivant dans la tradition échevelée du feuilleton populaire français d’un Gustave Lerouge ou Gaston Leroux. Nous y reviendrons…
 
En effet, deux chasseurs de vampires traquent ici Dracula, remontant sa piste à travers l’itinéraire de sa fiancée que poursuivent également les serviteurs du vampire et les nonnes folles qui l’ont recueillie… On kidnappe des gens, on y assassine à l’arme blanche… L’image s’adapte au récit et on croit voir les photo-dessins de Jean-Michel Nicollet, tant la composition, le choix des couleurs sont proches de ceux de l’illustrateur des couvertures de la défunte collection Néo.
 
Un plan du chasseur de vampire en costume de campagne, pistolet au poing, devant les falaises de Normandie nous renvoie à Harry Dickson, comme d’ailleurs les couvertures de livres, multiples références visuelles, qui jalonnent le film. Nous y reviendrons encore… Côté référence toujours, la tradition Grand Guignol n’est pas en reste avec les assassinats sanguinolents de nonnes ou de nourrisson. La séquence de la mort de la femme vampire à la proue d’un bateau dans le soleil levant nous ramène également au «Dracula» de John Badham, preuve que Rollin connaît également ses classiques cinématographiques.
Avec l’an 2000, voici venu le nouvel opus des films vampiriques de Jean Rollin. L’amateur du cinéaste-poète y trouvera une nouvelle fois son compte, avec des constantes et cependant quelques nouveautés…
 
Tout d’abord il convient de souligner la photographie remarquable. Oscillant entre les séquences de nuit aux éclairages vert-bleus dignes de l’âge d’or du «bis» italien et ses scènes diurnes remarquables de composition, le spectateur admire de véritables tableaux «fin de siècle» vivants (particulièrement, cette image de La fiancée de Dracula au couvent, couchée sur un divan, au milieu de bibelots, plantes et tentures). Les extérieurs sont d’une indéniable beauté plastique avec, comme toujours, la plage de Tournon-Dieppe  [Pourville-les-Dieppes], mais aussi les carrières de craie du sous-sol parisien, le château-fort ou la tour de la folle [Gallardon], digne d’un cauchemar expressionniste façon Nosferatu, sur laquelle s’attarde le réalisateur. On prend le temps d’admirer chez Jean Rollin…
La fiancée de Dracula
Par Jean Depelley et Etienne Barillier
Je n'autorise aucune photo de moi pour raisons personnelles, mais l'on peut m'apercevoir faire une apparition dans ce film
La fiancée de Dracula tout comme dans le film Les deux orphelines vampires en 1995, et dans le film Killing car en 1992…
ici avec mon violon personnel, mais je ne fais  que semblant d'y jouer. J'ai eu les deux mains cassées voici quelques années, je me suis pris un mur… à pieds. J'ai été poussée dans des escaliers en colimaçon, et j'ai mis mes mains en avant pour éviter le mur, ce qui m'a brisé les deux mains,
j'en ai donc perdu la dextérité et je ne pourrais plus jamais  jouer du violon.
Les phrases énigmatiques prononcées par Isabelle (Cyrille Iste) la fiancée de Dracula sont toutes tirées d'œuvres de Gaston Leroux.
Jean Rollin était un spécialiste de cet écrivain du XIXè siècle et a écrit par ailleurs plusieurs articles à son propos notamment :
«Aujourd'hui Gasont Leroux»
Une chose très curieuse, m'est arrivée sur ce tournage notamment quand nous étions sur le décor du vieux château fort de Blandy-les-Tours à 75 km de Paris en Seine-et-Marne.
Nous tournions les scènes à l'extérieur du château mais aussi à l'intérieur, certaines salles nous ayant été ouvertes pour la régie, et les décors nécessaires, bien sûr.
Et à un certain moment, il y a eu les scènes à tourner de Brigitte Lahaie qui jouait le rôle de la louve. Je faisais donc les photos de plateau de Brigitte Lahaie, comme celles que l'on peut voir ci-dessous, mais curieusement, sur le jeu de photographies prises en intérieur, seule une photo apparait sans fond. J'ai photographié, Brigitte Lahaie devant une porte en bois cloutée, pour ne pas avoir la régie en arrière plan, et je disposais de lumière suffisante puisque les autres photos sont prises au même endroit, et surtout au même moment, mais dans un axe différent, en intérieur.
Je ne disposais pas encore à l'époque d'appareil photo numérique mais un appareil photo 35 Nikon, et il n'y avait pas eu de coupure de courant.
Bien que nous tournions de nuit ambiance nuit italienne (c'est-à-dire vraie nuit), nous avions un système d'éclairage évidemment pour les scènes de nuit extérieures.
Donc, nous n'étions pas dans le black out total.
La photographie ci-contre, n'est pas truquée. On a l'impression que je l'ai prise avec flash, ors, je n'emploie jamais de flash en photo de plateau, utilisant de la pellicule en haute sensibilité 1600 ASA.
En comparaison, les autres photos tirées du même jeu de mes négatifs 35.
L'on voit très nettement l'éclairage disponible, mais pas pour la photo de  gauche.
Etrange…
Ci-dessus, Bernard Tramier, le chef maquilleur, assisté par l'ingénieur du son, Olivier Lombroso.
Cela dit, le maquillage est très bien fait, exécuté par Bernard Tramier, notre chef maquilleur sur ce film, mais pas facile à réaliser.
Mais, le mérite en revient surtout à Sandrine Thoquet pour avoir subi cela sans mot dire.
Ci-dessous, Jean Rollin et sa nièce, Sandrine Thoquet, préparant la scène où Sandrinette joue la petite vampire brulée par les rayons du soleil de l'aube. Cette scène s'est tournée sur deux endroits différents.
Les plans sur la proue d'un bateau à quai au port de Pourville-lès-Dieppes, l'Octopus, où Sandrinette est nue, face au soleil en cadre large. Les plans rapprochés, en banlieue pour les scènes raccord de son visage brulé. Je me souviens que cela avait été assez éprouvant pour Sandrinette, car il a fallu faire des plans consécutifs  sans trucage vidéo.
Sandrinette avait eu beaucoup de courage quand on sait quel type de maquillage avait été préparé pour son visage et surtout quel type de produit avait été utilisé pour la démaquiller, de l'essence de térébenthine….
Mon travail ne se cantonnait pas à la simple prise de vue de photographies de tournage ou de travail. J'avais en charge aussi la maintenance liée à l'état de santé de Jean, ce qui impliquait une responsabilité importante. Jean étant le producteur et le réalisateur de ses films, tout reposait sur le bon fonctionnement de la coordination du tournage lui-même mais aussi des aléas liés à ces déplacements qu'occasionnaient les séances de dialyses.
 
Il n'y avait qu'une rotation par jour du bateau qui nous menait sur l'île Chausey. Il ne fallait donc pas louper le retour sur le continent, car je devais le mener à Caen pour la dialyse.
Quelque chose d'éprouvant pour moi, je n'ai absolument pas le pied marin, mais alors pas du tout…
Ci-dessous, une des rares photos où j'apparais aux côtés de Jean. Je n'autorise aucune photo de moi pour raisons personnelles.
Je suis bien sûr visible dans le film…
Pour ce tournage, hors dialyses, nous logions tous dans un petit hôtel à Pourville-lès-Dieppes, proche de la plage fétiche de Jean. Après quatre heures de dialyse éprouvantes pour Jean, nous repartions rejoindre l'équipe de tournage.
Jean-Noël Delamarre, prenait le relais de la réalisation des scène en l'absence de Jean tout en étant en relation téléphonique avec Jean ou avec moi-même lorsque je ne conduisais pas. Le téléphone portable est un outil formidable à bien des égards.
Jean Rollin, a été greffé un an plus tard en octobre 2000.
C'est sur son téléphone portable qu'est arrivé l'appel qu'un greffon était disponible, un vendredi soir à 23 heures…
Jean m'avait téléphoné très angoissé, ce que je pouvais comprendre.
Je pris ma voiture et le rejoignais à son domicile afin de préparer sa valise pour ses effets personnels et bien sûr, son téléphone portable avec le chargeur qui va bien avec, il avait tendance à oublier le chargeur et s'étonnait que le téléphone ne fonctionnait plus après un certain temps d'utilisation… Il avait oublié que la batterie se déchargeait aussi.
Je fis donc l'expérience depuis mon mobile, et soudain, j'entendis une très faible sonnerie en réponse à mon appel.
Je me dirigeais alors vers la cuisine d'où provenait cette petite sonnerie, et cherchais dans la cuisine. Je m'approchais du réfrigérateur… et c'est dans le freezer, que je trouvais son téléphone portable. Cela ne s'invente pas, en faisant quelques courses et en  les plaçant dans le réfrigérateur et le freezer, Jean avait placé aussi son téléphone portable, et l'avait oublié-là.
Il avait congelé son téléphone portable… lol.
 
Ci-contre, Jean Rollin prenant son traitement médicamenteux, nous étions en tournage du film La fiancée de Dracula en 1999, et nous ne logions pas avec l'équipe de tournage, restée sur le décor de l'île Chausey où se tournaient le film. Nous étions descendus dans un hôtel à Caen, car c'étais moi, qui emmenais Jean pour ses séances de dialyses.
Une autre fois, en France, cette fois-ci, Jean me téléphone depuis son fixe affolé en me disant qu'il avait perdu son téléphone portable.
J'avançais mon rendez-vous chez Jean, car nous nous voyions presque tous les jours. Arrivée chez Jean Rollin, nous nous mîmes à chercher dans son appartement, le téléphone portable dans les endroits les plus improbables.
Grand moment de solitude…
Jean avait la manie de perdre ses lunettes ou son portable ou ses clés, et m'appelait pour que je l'aide à les retrouver.
Je lui avais demandé si par hasard, il aurait tenté d'émettre un appel depuis son fixe vers son mobile…
Mais il n'entendait pas toujours son téléphone portable sonner.
Il y a quelques années maintenant, Jean Rollin, a décidé de m'offrir un téléphone portable. La téléphonie mobile était à ces débuts, mais Jean éprouvait la nécessité de pouvoir me joindre à tout moment. Je lui avais dit  que c'était aussi très utile en cas de déplacements pour joindre certains de ses correspondants, ou en cas d'appel pour une greffe rénale.
Jean étant en dialyse depuis quelques années.
Mais Jean était réfractaire aux nouvelles technologies.
Il me disait toujours qu'il était un homme du XIXè siècle.
Je pris donc la décision d'aller avec lui pour prendre deux abonnements téléphone portable, ceci se faisait sur la société
Les Films ABC.
Je trouvais alors un très bon abonnement pour deux portables en lignes groupées. Il avait décrété que je m'occuperai donc de gérer les deux téléphones portables ce que je fis. C'était à l'époque, le réseau Itineris.
je réglais les deux mobiles et lui faisais un petit pense-bete pour les commandes et manipulations de son téléphone portable.
Bien sûr, il a fait tomber son portable un nombre incalculable de fois, bloqué sa carte sim, bref, je m'occupais toujours de le dépanner. Une fois aux US, nous avions l'option monde, il a trouvé le moyen de bloquer son téléphone. Heureusement, que j'avais fais les réglages en conséquence de nos deux mobiles, ce qui permis d'utiliser mon numéro téléphone mobile pour interroger sa messagerie.
Jean Rollin
La plage de galets de Pourville-sur-Mer…
Tournage du film La fiancée de Dracula de Jean Rollin, 1999.
Le petit cimetière d'Epinay Champlâtreux, 95214 Val d'Oise.
Ci-dessous, quelques images souvenirs  du tournage au petit cimetière
A gauche, Natalie Perrey, scripte, costumière et comédienne. A droite, Jean Rollin.
En pause bien méritée, pendant les changements de plans et d'axe caméra.
Les tournages de nuit étaient assez éprouvants surtout pour Jean, dialysé, mais nous formions une très bonne équipe,
et la fatigue ne se faisait pas trop sentir tant les moments passés ensembles étaient agréables.
Ce sont à ces occasions que Natalie et moi avons été à la pêche aux roses de porcelaine de cimetière…
Tournage du film La fiancée de Dracula de Jean Rollin, 1999.
L'équipe de tournage du film.
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03 novembre 1938 - 15 décembre 2010
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