Le frisson des vampires de Jean Rollin

La version non floutée de la vidéo des commentaires de Jean Rollin sur son film Le frisson des vampires figure sur le DVD du coffret du film des Éditilon Encore. À cause de l'abjecte censure débile, le format FLV n'étant plus supportée, il faut faire usage d'une plateforme comme youtube pour visionner les vidéos au format mp4…

Jacques Robiolles [6 mars 1935 - 19 avril 2017] et Michel Delahaye [21 septembre 1929 -22 octobre 2016]

2015-12-26 à 22.53.51

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Jean Rollin, évoque ses écrits en tant qu'auteur et montre à la caméra, les prix reçus lors des différents festivals où Jean a été convié pour présenter ses films.

La photo du journal est tirée d'un jeux de quelques photos que j'avais faite chez Jean Rollin peu après que nous soyons rentrés d'un festival qui se tenait en octobre 1997 à San Sebastien en pays basque espagnol.

Jean Rollin tient entre ses mains, le prix qui lui avait été décerné pour l'ensemble de son œuvre.

Dans un petit sujet filmé chez Jean Rollin par Merrill Aldighieri et dont les propos ont été recueillis par Lucas Balbo

Jean Rollin évoque avec justesse que son cinéma se réclame du surréalisme. Les critiques de l'époque avaient tendance de comparer l'œuvre de Jean Rollin à un autre cinéaste, Ed Wood, mais les deux cinéastes n'ont absolument rien en commun ni dans l'œuvre filmique ni autrement. Le seul point commun réside en effet dans le manque de budjet, ce qui n'a pas empêché Jean Rollin d'écrire et de réaliser de nombreux films originaux et ce malgré le manque de financement. Dans cet article, le film Le frisson des vampires qui passait sur Canal+ pour la première fois faisait parti de la vente du catalogue à Canal+. Jean-Pierre Dionnet, cinéphile, animait les émissions Cinéma de quartier et Quartier interdit sur la Pay.T.V. C+, où de nombreux films de Jean Rollin ont été diffusés, par la suite les films de Jean ont été diffusés sur d'autres chaînes TV par câble ou satellite. Ces ventes ont permises à Jean Rollin de financer en partie ses films suivants notamment, La fiancée de Dracula, qui était une coproduction franco-italienne. Jean Rollin disait souvent et cela j'ai pu m'en rendre compte par mon expérience à ses côtés, qu'il était devenu très difficile de faire un film sans partenariat.